En 2019, Ephia Gburek, chorégraphe, a proposé des ateliers d’art-thérapie et pratiqué la danse auprès de patients sortis du coma dans un centre de rééducation à Sainte-Foy-L’Argentière. Pour chaque patient qu’elle a rencontré, une trace est laissée, celle du contour de leurs mains.

De toutes ses expériences avec des patients en a découlé un livre, s’intitulant « Les Mains de l’Argentière » qu’elle a ensuite adapté en pièce de théâtre. Cette œuvre traite tout en douceur de la relation soignants-soignés et met l’accent sur les bienfaits de l’art sur les patients sortant de longues périodes de coma.

Les classes de Terminale philo de M. Welcker et M. Caille ainsi que la classe de DCESF de Mme. Faurand ont assisté a la représentation de cette pièce dans la salle polyvalente du lycée mardi 25 avril à 14h. Suite au spectacle, des échanges ont eu lieu entre élèves et comédiens pendant une heure.

La pièce a beaucoup plu aux enseignants et aux élèves présents.

« Dans les noires ténèbres de Rien, le Presque (rien) laisse filtrer une lueur d’espoir, un très mince filet de lumière… » Vladimir Janelevitch

Interview d’Ephia Gburek qui nous a raconté son parcours professionnel et nous a parlé de sa pièce de théâtre.

Bande annonce du spectacle sur YouTube :